L’infection du Covid-19 peut être considérée par les assureurs comme un risque aggravé de santé. Qu’en est-il alors des projets immobiliers et de la légitimité à l’emprunt suite à une contamination au Covid-19 ? Réponse avec Crédixia.
Créé il y a près de trente ans, le plan d’épargne en actions (PEA) demeure une enveloppe attractive fiscalement. Il peut être opportun d’y loger des titres non cotés, à condition de bien en maîtriser les règles spécifiques de fonctionnement.
La crise sanitaire aura secoué l’ensemble des secteurs. Celui de la santé n’a pas été épargné. S’il peut globalement être considéré comme un gagnant, ce marché reste hétérogène. La Covid-19 est donc également pour ses acteurs un accélérateur de tendances, alors que les conséquences économiques pourraient fragiliser certains acteurs.
Il y a douze ans, le groupe Izimmo, filiale du groupe Crédit mutuel Arkéa, a lancé sa plate-forme dédiée au marché des conseils en gestion de patrimoine : La Référence Pierre. Avec plus de six cents lots vendus l’an passé et quatre-vingts programmes accessibles en permanence, la société s’affirme et affiche ses ambitions d’être une plate-forme à l’offre diversifiée et enrichie avec la commercialisation d’une SCPI « maison ».
Forte hausse des demandes liées à la crise sanitaire, grandes thématiques de saisine, comme l’épargne salariale, le PEA et les arnaques financières : voici les faits saillants de l’année 2020 à la médiation.
L&P Immobilier mène une opération de démolition-construction à Puteaux (Hauts-de-Seine), où un immeuble de bureaux de 1 400 m2 datant des années 1970, devenu obsolète, va être démoli pour laisser place à une résidence haut de gamme (T1 au T5 accessibles dès 267 000€).
Sur les 13 200 intermédiaires identifiés comme courtiers actifs auprès de l’Orias, seuls 3 020 d’entre eux s’étaient inscrits auprès de Tracfin. Pour ce service dédié à la LCB-FT, il est donc essentiel qu’ils se conforment à leurs obligations légales.